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Auteur/autrice : BernadetteC

30 novembre, journée des fiancés

EN ROUTE VERS LE MARIAGE

Se marier pour la vie, c’est sérieux ! Cela se prépare… 

Mgr Jacolin, évêque de notre diocèse, vous invite à une journée diocésaine avec tous les couples qui se marieront dans l’année. Au cours de cette journée joyeuse, des couples vous témoigneront de l’amour de Dieu et de son action dans leur vie de couple. Vous serez accompagnés par des couples mariés tout au long de cette journée.

Réservez la date :  le samedi 30 novembre 2024 à La Roche-sur-Yon (ICES – 31 bvd des Belges, La Roche-sur-Yon)

Témoignages des fiancés 

 

  • Un grand merci pour cette journée riche en émotions et qui va nous aider formidablement pour le jour J.  
  • Nous avons beaucoup apprécié cette journée et avons été très émus de la gentillesse et de la sollicitude de l’ensemble des intervenants. Nous gardons un très beau souvenir de la bénédiction de Mr Jacolin. En somme, cette journée a été une chance et nous a fait du bien ! 
  • Merci pour cette belle journée, remplie de joie, de belles surprises. De très beaux témoignages vraiment Merci. Merci au couple accompagnateur superbe.  
  • Merci à tous pour cette belle journée des fiancés ! ça lance notre préparation et ça promet. De beaux moments de partage, de joie, de larmes et de bénédiction ! que le mariage nous apporte à tous autant ce jour J et merci aux accompagnateurs !

 

Témoignages des couples parrains

 

  • Nous avons vécu cette journée avec beaucoup de joie. En tant que couple parrain, nous avons pu nous concentrer sur notre mission d’accompagnateurs des couples de fiancés, ce qui était très agréable. Nous avons fait de belles rencontres. Nous étions heureux de vivre en couple cette journée.
  • Nous vous remercions, nous aussi pour cette formidable journée. Notre appréhension s’est transformée en bonheur, joie, surprise…… je ne sais si nous avons donné mais nous avons aussi beaucoup reçu de vous tous mais surtout de nos filleuls. 
  • Cette journée nous a fait beaucoup de bien. C’est comme si nous avions fait une petite retraite en couple 

©Diocèse de Luçon

Pèlerinage diocésain du dimanche 13 octobre à Saint Laurent sur Sèvre

Reprenons le chemin vers le ciel !

Pour se tourner vers l’Année Sainte qui approche, le pèlerinage diocésain, en lien avec la famille montfortaine, s’est déroulé dimanche 13 octobre à Saint Laurent sur Sèvre. ‘Ancrés dans l’espérance’ était le thème de cette journée. Au programme : une marche au départ de Poupet, un enseignement de Mgr Micas, évêque de Tarbes et Lourdes, puis la prière du chapelet à la grotte de Lourdes, suivie de la procession et de l’eucharistie en la basilique.

Le thème de cette année jubilaire est ‘Pèlerins de l’espérance’ : « Cette année sera l’occasion de remettre les fidèles de Dieu sur la route, nous rappelant notre identité de pèlerins, en marche vers le Royaume », souligne Mgr Jean-Marc Micas, lors de son enseignement aux fidèles dans la basilique. Pour Mgr Micas, « l’Année Sainte réveille en nous l’appel du large. Reprenons la route vers Le Ciel, vers Dieu, vers nos frères ! », insiste-t-il. Cherchons à nous convertir, en ne comptant pas sur nos propres forces, mais sur la grâce de Dieu. « Oui, cela en vaut la peine, car nous le désirons au plus profond de notre âme. L’espérance, par définition non évidente, nous fait lever le regard vers le Ciel, envers et contre tout, en faisons confiance à l’Esprit Saint et aux promesses du Christ ».

Anne DETTER

©Diocèse de Luçon

 

Journée fraternelle entre 120 religieux et religieuses à LUCON le samedi 5 octobre

Une journée fraternelle et spirituelle a rassemblé 120 religieux et religieuses du diocèse de Luçon, samedi 5 octobre, autour de Mgr Jacolin. Dans la joie de vivre ensemble un temps de ressourcement, dans la diversité des charismes, cette journée a été très appréciée !

Venus des quatre coins du diocèse, les religieux et religieuses étaient heureux de se retrouver à Sainte Ursule pour débuter cette journée fraternelle. « Cela faisait longtemps qu’il n’y avait pas eu un tel rassemblement, et c’est une très bonne initiative qui nous réjouit ! », souligne une religieuse, venue du bocage avec d’autres sœurs. Si la journée de la vie consacrée, le 2 février, reste un moment important pour prier ensemble et célébrer l’eucharistie, cette rencontre fraternelle, à l’invitation de Mgr Jacolin, a permis aux participants de vivre une journée de partage et de prières, sur le thème ‘Sous l’animation de l’Esprit Saint et puisant dans la prière, rayonner et communiquer la saveur de L’Evangile !’. « Il s’agit pour nous de vivre un temps fort de spiritualité, de louange et de communion », indique Sœur Jeanne-Elisabeth, qui a participé à l’organisation de cette journée.

Après la prière d’ouverture, par Mgr Jacolin et le père Robert Daviaud, délégué épiscopal à la vie consacrée, suivie de l’oraison dans la chapelle de Sainte Ursule, les participants se sont retrouvés dans l’amphithéâtre pour un temps de présentation : 22 représentants des communautés, ordres et congrégations, présents en Vendée, étaient là ! « Nous avons ainsi pu faire connaissance dans la diversité des formes de vie consacrée ». Créées il y a plusieurs siècles, ou seulement quelques années, apostoliques ou contemplatives, les communautés présentes dans le diocèse de Luçon comptent des centaines de consacrés, hommes ou femmes, qui ont donné leur vie à Dieu, pour le servir, l’aimer, et le prier. Mgr Jacolin se réjouit de voir « cette belle diversité de vocations dans notre Eglise ».

Le père Robert Daviaud a ensuite donné un enseignement s’inspirant du thème de la journée. « Les personnes consacrées rendent ce beau service de la prière, qui doit être au centre de nos vies. Elles ont une union à Dieu particulière, du fait du don d’elles-mêmes au Seigneur. L’espérance continue d’être exprimée et reçue du Seigneur à travers nos prières », rendant grâce pour cette chaîne de prière perpétuelle, qui ne cesse de louer le Seigneur, chaque heure du jour et de la nuit, par le monde entier. « La prière, cœur à cœur avec Dieu, nous invite aussi à garder cette fidélité, à porter ceux et celles qui souffrent dans notre monde ». Rappelant à être vigilant pour « ne pas ouvrir la porte à l’esprit du mal qui rode », le père Daviaud a invité chacun à faire régulièrement mémoire de ses vœux, de son ordination, de ce jour où tout a été donné à Dieu. « Offrons-nous aussi dans une union au Christ souffrant sur la croix et ressuscité ».

Le déjeuner a ensuite permis un moment de partage en petits groupes, pour mieux se connaître et comprendre le charisme de chaque communauté. Puis, les participants ont rejoint le Carmel pour la prière de none et un échange avec une sœur carmélite. La célébration de l’eucharistie, à la cathédrale, en union de prière avec les membres de la vie contemplative ou avec les personnes qui ne peuvent se déplacer, a conclu cette belle journée fraternelle.

Anne DETTER

©Diocèse de Luçon

La Vendée sur le chemin de St Jacques de Compostelle

« Ultreïa ! » : la Vendée sur le chemin de Compostelle

Depuis des siècles, les pèlerins marchent sur les différents chemins qui mènent à Compostelle, au tombeau de l’apôtre Jacques le Majeur, découvert au début du 9e siècle. Quête spirituelle, pèlerinage ou défi sportif ? Les raisons varient, les générations aussi, mais tous ont la même conclusion : « On rentre du Chemin différent »

 

« Ultreïa ! ». C’est le cri lancé depuis le Moyen-Age par les pèlerins qui prennent la route vers Compostelle. Il peut se traduire par un encouragement à aller « en avant, plus haut, plus loin ! ». Du courage et de la persévérance pour tenir : c’est le bagage nécessaire pour se mettre en marche et parcourir les centaines de kilomètres sur les chemins balisés au fil des plaines et des montagnes. En Vendée, bon nombre de personnes appartiennent à la grande famille des pèlerins de Saint Jacques. Jeunes, professionnels, retraités, seuls ou en groupe, ils se sont un jour lancés sur le Chemin. Les motivations sont diverses : quête spirituelle, besoin de faire un break dans le tumulte de la vie ou encore moment propice lorsqu’arrive la retraite.

C’est le cas de Monique Riand, qui habite la Roche-sur-Yon, membre de l’Association vendéenne des pèlerins de Saint Jacques. Avec son mari, elle a marché sur le Chemin régulièrement entre 2002 et 2015. « Il est d’abord parti seul la première année de sa retraite. Lorsqu’il est rentré, même s’il n’a pas tout raconté, j’ai réalisé qu’il avait vécu quelque chose de très fort. J’ai eu alors envie de le vivre moi aussi ! », explique-t-elle avec enthousiasme. Chaque année, leur parcours est différent, mais la motivation est toujours là. « J’aime cette sensation de liberté que l’on a lorsque l’on part et que l’on ferme la porte de chez soi. Cela nous permet vraiment de prendre du recul sur la vie et de nous recentrer sur l’essentiel ». Pour cette grand-mère qui a emmené cet été trois de ses petits-enfants marcher entre Moissac et Eauze, la marche sur le Chemin est bien une parenthèse spirituelle et sportive. « Pour moi, le Chemin est comme un monastère à ciel ouvert », dit-elle joliment. « Au lever du jour, lorsque l’on commence la marche, on ne peut s’empêcher de prier le Seigneur, d’admirer la Création ». Elle confie aussi apprécier les temps de prière, messes ou veillées, proposées au gré des haltes.

Pour Marie-Thérèse, une de ses amies, également membre de l’association, l’envie de partir sur le Chemin est venue peu à peu, après des lectures et des témoignages dans les magazines. « Je m’étais dit que je partirai un jour, sans savoir exactement quand. C’est en 2005 que je me suis décidée. Je n’ai marché qu’une semaine, mais cela a suffi pour que le virus soit pris ! ». Pendant huit ans, elle a ainsi marché entre une à deux semaines pour finalement arriver à Saint Jacques. « C’est vraiment une belle parenthèse que l’on vit. Une bulle qui nous permet de vivre de belles choses ».

 

Le Chemin révèle la fragilité de l’Homme

 

Le Chemin est aussi source d’enrichissement et permet de grandir spirituellement. En effet, si l’enthousiasme du début est toujours là, les épreuves physiques ne manquent pas. Le corps a ses limites, éprouvées par les pieds au fur à mesure que s’égrènent les kilomètres parcourus ! Tous en témoignent : le Chemin révèle la fragilité de l’Homme. « Lorsqu’il pleut, que la fatigue est trop grande, les difficultés du Chemin peuvent paraître insurmontables. Mais c’est aussi l’occasion de ne pas se plaindre, de prendre sur soi, car on n’a pas le choix, il faut continuer d’avancer. La difficulté doit être dépassée ». Le Chemin invite aussi au dépouillement, à n’emporter que l’essentiel et le minimum vital.

Confiance et persévérance vont de pair avec la fidélité dans les épreuves. Un combat physique mais aussi un combat spirituel. L’envie d’abandonner lorsque cela devient trop difficile. Ainsi, la marche travaille le corps et l’esprit. Elle renvoie chacun à ses propres limites et ses fragilités. Nombreux sont ceux qui ont été tentés d’abandonner au bout de quelques jours, lorsque les ampoules aux pieds apparaissent. Mais tous repartent ! Pour les pèlerins, c’est l’occasion d’expérimenter la confiance en Dieu, « qui ne nous abandonne pas et qui est là, à nos côtés, sur le Chemin ». Mais c’est aussi l’occasion d’expérimenter la dimension fraternelle, incontournable sur le Chemin !

 

La fraternité incontournable sur le Chemin

 

Car c’est bien ce qui fait la singularité du Chemin. Les innombrables rencontres entre Français, mais aussi avec les nombreux étrangers qui, venant du monde entier, marchent vers Compostelle. Des rencontres qui marquent et qui permettent de faire naître de belles amitiés qui demeurent, une fois le pèlerinage terminé. Monique et Marie-Thérèse en sont témoins et pour elles, « il est même difficile de mettre des mots sur ce que nous vivons. Sur le chemin, on est tous à la même enseigne, sans étiquette. Il y a une vraie attention aux autres qui est présente et vraiment touchante, particulièrement lorsque l’on marche seul ». Les uns et les autres s’encouragent, peuvent se perdre puis se retrouver au détour d’une route ou d’un lieu d’accueil. « Il y a un vrai respect mutuel entre les marcheurs, même s’il faut se garder de tout angélisme, car il y a parfois des râleurs et des fanfarons », note l’abbé Roland Gautreau, qui accompagne régulièrement des pèlerinages vers Compostelle.

 

Pour Thérèse Leclair, habitante de la Guyonnière, et membre de l’association vendéenne des pèlerins de Saint-Jacques, cette notion de rencontre et d’échange est très riche. Après avoir marché pendant neuf ans sur les chemins, elle accueille maintenant les pèlerins qui empruntent le Chemin vendéen, au départ de Cugand pour aller jusqu’à Damvix. (comme elle, ils sont une quarantaine d’accueillants en Vendée). Elle ouvre ainsi sa maison, propose le dîner et le petit-déjeuner aux pèlerins. « C’est une magnifique expérience, avec des échanges formidables. Un vrai bonheur de partager ensemble ce que l’on vit sur le Chemin, de se porter les uns les autres par la pensée et la prière », raconte-t-elle en montrant son livre d’or sur lequel sont écrits les nombreux témoignages d’amitié et de reconnaissance. « Il est très rare que je ne reçoive pas de carte postale ou de mail de remerciement ! C’est aussi une belle façon de garder le lien établi, une fois que le Chemin est terminé ». Lorsqu’elle reçoit les pèlerins, Thérèse ne manque pas de leur proposer une visite de l’église de la Guyonnière, où se trouve le trésor attribué à l’amiral du Chaffault. Elle ne manque pas non plus de leur délivrer la fameuse crédencial, attestant du passage sur les différentes étapes du Chemin.

 

Des marcheurs devenus pèlerins

 

Une fois arrivé au terme du pèlerinage, il faut rentrer chez soi, retrouver sa vie, ses proches. Les parents des collégiens qui ont marché sur le Chemin en témoignent. « La marche les transforme. Il y a un avant et un après », dit Bérangère Brutschine. « A chaque retour, on a envie de repartir car on a attrapé le virus, en quelque sorte ! », ajoutent Monique et Marie-Thérèse avec humour. La coutume dit : « On part marcheur mais on arrive pèlerin ». L’abbé Roland Gautreau le confirme. « Si le mot « pèlerins » n’est pas utilisé par tous au début, beaucoup le deviennent au fil du Chemin », grâce aux rencontres, aux épreuves, à la contemplation de la Création. « En effet, on ne peut pas ne pas se demander, à un moment ou à un autre : « Mais qui est donc ce Jacques, dont la tombe est à Compostelle ? ». Et cette question conduit ainsi à faire un peu plus connaissance avec ce compagnon de Jésus, cheminant sur les routes de Palestine, devenu son apôtre et un des premiers martyrs de la communauté chrétienne. Il est de ceux qui ont mis leur foi en la Résurrection du Christ et qui se sont mis en route pour « porter la Bonne nouvelle jusqu’aux extrémités de la terre ». Un compagnon de route à découvrir en se mettant en Chemin ! Alors, « Ultreïa » ?

Anne Detter-Leveugle
Extraits de CEV N°168 – Septembre 2018 – Dossier « La Vendée sur le Chemin de Saint Jacques de Compostelle

© Diocèse de Luçon

 

Message de Mgr JACOLIN aux estivants

Chers estivants qui arrivez, bienvenue !

Que vous soyez estivants en quête de repos, résidents profitant des charmes de notre région, ou saisonniers et professionnels œuvrant avec dévouement, je vous souhaite un temps d’été propice à la contemplation, à la prière et à l’expression de la charité pour chacun, envers tous ! Profitez de la beauté de notre patrimoine religieux et naturel, elle élève l’âme et apaise les cœurs.

tourisme

En cette année de la prière qui nous prépare à l’année jubilaire, je vous incite à saisir les nombreuses propositions qui sont faites dans vos paroisses, dans les centres spirituels, dans les communautés durant cet été. Contempler les beautés de la création dans la nature à l’occasion d’un pèlerinage aide à rendre grâce à Dieu. Nous aurons entre autres la chance d’avoir la possibilité de nous joindre à une marche pèlerine qui sillonne notre diocèse durant l’été : la Traversaine de Marie du 15 juillet au 22 août[1].

Cet été sera bien sûr marqué par les jeux olympiques. Vous pouvez vous y associer de diverses façons : être en communion avec la messe d’ouverture de la trêve olympique le 19 juillet en faveur de la paix dans le monde, la veillée et la bénédiction des athlètes le 25 juillet… Accueillez aussi l’appel du Saint Père aux chrétiens durant ces jeux :

« Ouvrez églises, écoles, maisons, et surtout vos cœurs ». Les JO sont en effet l’occasion de témoigner de la «force du Christ qui communique sa joie ». Que les «personnes handicapées, pauvres ou marginalisées» ne soient pas mises à l’écart de cette «belle fête du sport». Les Jeux Olympiques doivent susciter une ouverture à la différence, des «rencontres profondes et fructueuses» et un «authentique élan de fraternité».

©Diocèse de Luçon

Récollection du CCFD-Terre Solidaire

Les membres des équipes du CCFD Terre Solidaire de Vendée se sont réunis le 18 avril dernier pour vivre un temps de récollection.

Pèlerinage de l'Alliance (crédit photo : ©Lazare)

Le jeudi 18 avril 2024, les membres d’équipes du CCFD-Terre Solidaire de Vendée se sont réunis à la maison du diocèse pour vivre un temps de récollection. Le Père Bernard Lucas, leur aumônier, leur a rappelé la genèse du mouvement en 1961, voulu et missionné par les évêques de France, inspirés alors par le Concile Vatican II. De part sa composition des divers mouvements et services d’Eglise, il permet de vivre la dimension essentielle de fraternité (à travers la solidarité internationale) et d’universalité et est en ce sens essentiel à la vie de l’Eglise. Ils ont pu partager leurs méditations à la suite de la lecture de la lettre de Saint Paul aux Romains au chapitre 12 (nous formons un seul corps) et ont terminé par la prière du « Notre Père »

© Diocèse de Luçon

Il nous faut « prier pour que le coeur des jeunes s’ouvrent«

Il nous faut « prier pour que le coeur des jeunes s’ouvrent«

 

Cette semaine le père François Bidaud nous parle pèlerinage et rassemblement : Lourdes, 1er mai et Ecole de prière.

Le pèlerinage diocésain à Lourdes vient de débuter. Un beau rassemblement avec plus de 900 Vendéens réunis dont de nombreux jeunes. Notamment « un service jeune » avec les hospitaliers et Joie de Vivre. C’est « une joie de voir le nombre de jeunes qui a augmenté, souligne l’abbé François, un beau signe d’espérance ! ». Il revient également sur l’anniversaire des 150 ans de la chapelle des Vendéens à Lourdes et la venue en octobre prochain à St Laurent sur Sèvre, de l’évêque de Tarbes et Lourdes.

A St Laurent sur Sèvre justement se tiendra le pèlerinage interdiocésain du 1er mai pour les vocations. L’occasion de poser la question : « Quel est le sens du ministère du prêtre aujourd’hui ?« . L’abbé François insiste sur la nécessité de parler des vocations dans nos familles : « C’est un défi !« . Il nous faut « prier pour que le coeur des jeunes s’ouvrent » à cette possibilité et découvrir la beauté du « don de la gratuité d’une vie [offerte] à l’Amour du Seigneur« .

Enfin en conclusion, nous parlons de l’Ecole de Prière qui rassemble 210 enfants du CE1 au CM2. Véritable institution dans le diocèse depuis une vingtaine d’années désormais, elle permet aux plus jeunes « d’expérimenter les différentes façons de vivre la Foi« .

© Diocèse de Luçon